Mademoiselle l'aventure,
Vous avez posé sans bruit,
Roulé dans sa couverture,
Un petit ange endormi,
On n'arrivait de nulle part,
On l'a serré contre nous,
Ce qui ressemble au hasard,
Souvent, est un rendez-vous.
Mademoiselle le mystère,
Evanoui pour toujours,
Vous serez toujours la mère,
Nous serons toujours l'amour,
C'est le livre qu'on partage,
Et nous voilà réunis
Au matin de chaque page,
On vous remercie.
Vous avez la joue,
On s'amuse de tout, de rien de son corps,
Pas de témoin je présume,
Juste la lune et encore,
Et ce trésor, cette colombe,
Qui vous avez ralentie,
Vous l'avez posée dans l'ombre,
Et l'ombre vous a reprise.
Cette petite âme blanche,
Elle sera née deux fois,
La première entre vos hanches,
La seconde entre nos bras,
La force que ça lui donne,
C'est de l'éclat de diamant,
On veut le dire à personne,
A vous seulement,
Vous qui avez la joue,
On s'amuse de tout, de rien de son corps,
Pas de témoin je présume,
Juste la lune et encore,
Et ce trésor, cette colombe,
Qui vous avez ralentie,
Vous l'avez posée dans l'ombre,
Et l'ombre vous a reprise.
Vous êtes sûrement très belle,
Comme ce petit miroir de vous,
Qui s'endort contre mon aile,
C'est tout ce que je sais de vous,
Mademoiselle.
Vous avez posé sans bruit,
Roulé dans sa couverture,
Un petit ange endormi,
On n'arrivait de nulle part,
On l'a serré contre nous,
Ce qui ressemble au hasard,
Souvent, est un rendez-vous.
Mademoiselle le mystère,
Evanoui pour toujours,
Vous serez toujours la mère,
Nous serons toujours l'amour,
C'est le livre qu'on partage,
Et nous voilà réunis
Au matin de chaque page,
On vous remercie.
Vous avez la joue,
On s'amuse de tout, de rien de son corps,
Pas de témoin je présume,
Juste la lune et encore,
Et ce trésor, cette colombe,
Qui vous avez ralentie,
Vous l'avez posée dans l'ombre,
Et l'ombre vous a reprise.
Cette petite âme blanche,
Elle sera née deux fois,
La première entre vos hanches,
La seconde entre nos bras,
La force que ça lui donne,
C'est de l'éclat de diamant,
On veut le dire à personne,
A vous seulement,
Vous qui avez la joue,
On s'amuse de tout, de rien de son corps,
Pas de témoin je présume,
Juste la lune et encore,
Et ce trésor, cette colombe,
Qui vous avez ralentie,
Vous l'avez posée dans l'ombre,
Et l'ombre vous a reprise.
Vous êtes sûrement très belle,
Comme ce petit miroir de vous,
Qui s'endort contre mon aile,
C'est tout ce que je sais de vous,
Mademoiselle.
Francis Cabrel
7 commentaires:
c'est magnifique
Merci pour ce texte magnifique.Je suis en larmes de tout mon amour...
Françoise
Merci c'est vrai que le texte est très beau.
(Moushette avez-vous bien eu notre mail pour vos amis "adoption Colombie").
Bonne soirée, et merci.
euh c'était "tits gens du Nord", biensûre.
Je l'aime, cet homme ! Il continue à écrire d'aussi beaux textes qu'il y a 20 ans...
Eva (une fan inconditionnelle)
les chtis, oui j'ai forwardé !
superbe, inconditionnelle aussi sud ouest oblige !!!
dans le temps j allais a toutes les fetes de la musique a Astaffort....
Ce Monsieur monte encore d'un cran dans mon estime
je crois que je vais aller faire un tour a astaffort avec timothé quand on descendra voir mes parents !!!!
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