vendredi 27 mai 2011

Vendredi.... c'est trasherie !

Vendredi... ça pourrait rimer avec SMJ (Syndrôme Mère Juive, en hommage au grand Bernardo, très fan du concept !), mais non, ici ça rime plutôt avec billet trasherie, limite co...rie ! Je conseille donc aux intellos peu enclin à lire des propos ras la pâquerette de fuir immédiatement et sans hésiter ce billet plus que vaseux !

Car non, je ne vais pas vour parler du ventre rond de carla, (quoique on peut le voir ici), de la robe à 250 euros de Kate, ou d'ADN mal placé, non non non.

Je vais me contenter de vous parler de Smaïn !

Bon. Point de vue humour, ça n'a pas toujours été mon kif. On va dire que ce que je préfère chez lui... ce sont ses Converses ! Mais figurez vous que Smaïn a sorti un bouquin récemment. Où il y parle entre autres de sa bigamie (deux vies familiales parallèles), de ses tentatives ratées de harem et d'autres choses sûrement très crunchy... Je vous avoue que sur ces thèmes, je n'accroche pas trop non plus, après tout chacun son truc. Mais il y parle aussi de son adoption, de sa peur de l'abandon, et là forcément, it rings a bell for me.

Bref, pour en savoir plus lisez ce magnifique billet pur jus pipole . Ou bien lisez ces extraits (oui Moushette cite Smaïn, ce blog décidémment dégénère au fur et à mesur que son rang Wikio progresse !) :

"Tes parents ne sont pas tes vrais parents" lui sermonne un jour une institutrice maladroite, et vraisemblablement très rancunière. Le jeune Smaïn Faïrouze n'a alors que 11 ans. "Par pudeur", et respect aussi, le futur humoriste n'en parlera jamais à ses parents.

Cette nouvelle bouleversante venait "confirmer ce que les indices me faisaient redouter", assure sans aucune amertume le comédien dans son livre. Finalement, il trouve la vérité nue dans une boîte de chaussures : ses deux première années passées dans un orphelinat, son père adoptif, balayeur algérien de Paris, qui vient le chercher. Plus vieux, Smaïn tentera de retrouver sa mère biologique. "L'enquête" restera vaine mais la cicatrice profonde.



(...)

Voilà peut-être pourquoi cet homme a eu besoin de connaître la lumière de la scène, voilà pourquoi il ne sait pas dire non même aux projets les plus ratés (il cite Charité Biz'Ness), voilà pourquoi il craint l'abandon plus que tout. Au point de proposer aux deux mamans de ses trois enfants de vivre sous le même toit !


Ne vous fiez pas au ton léger de ce billet, je dois vous avouer que son parcours d'adopté m'a touchée...

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